MELHORES MÚSICAS / MAIS TOCADAS
barbara - a chaque fois
Chaque fois qu'on parle d'amour,C'est avec "jamais" et "toujours","Viens, viens, je te fais le sermentQu'avant toi, y avait pas d'avant,Y avait pas d'ombre et pas de soleil.Le jour, la nuit c'était pareil.Y avait pas au, creux de mes reins,Douce, la chaleur de tes mains.",A chaque fois, à chaque fois,Chaque fois qu'on parle d'amour.Chaque fois qu'on aime d'amour,C'est avec "jamais" et "toujours".On refait le même cheminEn ne se souvenant de rienEt l'on recommence, soumise,Florence et Naples,Naples et Venise.On se le dit, et on y croit,Que c'est pour la première fois,A chaque fois, à chaque fois,Chaque fois qu'on aime d'amour.Ah, pouvoir encore et toujoursS'aimer et mentir d'amourEt, bien qu'on connaisse l'histoire,Pouvoir s'émerveiller d'y croireEt se refaire, pour pas une thune,Des clairs d'amour au clair de luneEt rester là, c'est merveilleux,A se rire du fond des yeux.Ah, pouvoir encore et toujoursS'aimer et mentir d'amour.Ah redis-le, redis-le moi,Que je suis ta première fois.Viens, et fais-moi le sermentQu'avant moi, y avait pas d'avant,Y avait pas d'ombre et pas de soleil.Le jour, la nuit, c'était pareil.Y avait pas, au creux de tes reins,Douce, la chaleur de mes mains.Ah redis-le, redis-le moi,Que je suis ta première fois.Ah, redis-le moi, je te crois.Je t'aime, c'est la première fois,Comme à chaque fois,Comme à chaque fois,Comme à chaque fois...
barbara - à force de
A force de m'être cherchée,C'est toi que j'ai perdu.A force de m'être cherchée,C'est toi que j'ai perdu.C'est toiQue j'ai perdu.Je t'ai perdu.Maintenant libre de toi,C'est là que tu me manques.C'est làQue tu me manques.Tu me manques.Tant de solitudeDepuis ton départ.Même le fond se vide.Plus de sens à rien.Tu étais dans ma chair,Tu étais dans mon sang.Plus pareil dans moi,Plus moi-même sans toi.Même le fond se videEt tout s'efface.Plus de sens à rien.Irais-je alors avec les angesMaintenant que tu es parti ?A trop m'être cherchée,C'est toi que j'ai perdu.A trop m'être cherchée,C'est toi que j'ai perdu.C'est toiQue j'ai perdu.Oh mon amour,Je t'ai perdu,Je t'ai perdu.
barbara - à mourir pour mourir
A mourir pour mourirJe choisis l'âge tendreEt partir pour partirJe ne veux pas attendreJe ne veux pas attendreJ'aime mieux m'en allerDu temps que je suis belleQu'on ne me voit jamaisFanée sous ma dentelleFanée sous ma dentelleEt ne venez pas me direQu'il est trop tôt pour mourirAvec vos aubes plus clairesVous pouvez vous faire lanlaireJ'ai vu l'or et la pluieSur des forêts d'automneLes jardins alanguisLa vague qui se cogneLa vague qui se cogneEt je sais, sur mon couLa main nue qui se poseEt j'ai su, à genouxLa beauté d'une roseLa beauté d'une roseEt tant mieux s'il y en aQui, les yeux pleins de lumièreOnt préféré les combatsPour aller se faire lanlaireAu jardin du bon DieuÇa n'a plus d'importanceQu'on s'y couche ou amoureuxOu tombé pour la FranceOu tombé pour la FranceIl est d'autres combatsQue le feu des mitraillesOn ne se blesse pasQu'à vos champs de batailleQu'à vos champs de batailleEt ne comptez pas sur moiS'il faut soulager mes frèresEt, pour mes frères, ça iraJ'ai fait ce que j'ai su faireSi c'est peu, si c'est rienQu'ils décident eux-mêmesJe n'espère plus rienMais je m'en vais sereineMais je m'en vais sereineSur un long voilier noirLa mort pour équipageDemain, c'est l'au revoirJe quitte vos rivagesJe quitte vos rivagesCar mourir pour mourirJe ne veux pas attendreEt partir pour partirJ'ai choisi l'âge tendre
barbara - à peine
A peine le jour s'est levé,A peine la nuit va s'acheverQue déjà, ta main s'est glissée,Légère, légère.A peine sorti du sommeil,A peine, à peine tu t'éveillesQue déjà, tu cherches ma mainQue déjà, tu frôles mes reins.L'aube blafarde, par la fenêtre,L'aube blafarde, va disparaitre.C'est beau : regarde par la fenêtre.C'est beau : regarde le jour paraitre.A chaque jour recommencé,A se vouloir, à se garder,A se perdre, à se déchirer,A se battre, à se crucifier.Passent les vents et les marées.Mille fois perdus, déchirés,Mille fois perdus, retrouvés,Nous restons là, émerveillés.Mon indocile, mon difficileEt puis docile, mon si fragile,Tu es la vague où je me noie,Tu es ma force, tu es ma loi.A peine le temps s'est posé,Printemps, hiver, automne, été.Tu t'en souviens ? C'était hier,Printemps, été, automne, hiver.A peine tu m'avais entrevue,Déjà, tu m'avais reconnue.A peine je t'avais souriQue déjà, tu m'avais choisie.Ton indocile, ta difficileEt puis docile, ta si fragile,Je suis la vague où tu te noies,Je suis ta force, je suis ta loi.Dans la chambre, s'est glissée l'ombre.Je t'aperçois dans la pénombre.Tu me regardes, tu me guettes.Tu n'écoutais pas, je m'arrête.Au loin, une porte qui claque.Il pleut, j'aime le bruit des flaques.Ailleurs, le monde vit, ailleursEt nous, nous vivons là, mon c?urEt je m'enroule au creux de toiEt tu t'enroules au creux de moi.Le temps passe vite à s'aimer.A peine l'avons-nous vu passerQue déjà, la nuit s'est glissée,Légère, si légère.Ta bouche à mon cou, tu me mords.Il fait nuit noire au dehors.Ta bouche à mon cou, je m'endors.Dans le sommeil, je t'aime encore.A peine je suis endormieQue déjà, tu t'endors aussi.Ton corps, à mon corps, se fait lourd.Bonsoir, bonne nuit, mon amour...
barbara - accident
Immobile et perdueComme une île perdue,Combien de jours,Combien de nuits,Combien de matins gris,Combien de tempsA rester là, à t'attendre,A t'attendre encoreA travers le temps ?Les jardins sont recouverts de neige.Déjà, pour la troisième foisDepuis que tu n'est plus là,Depuis que tu n'est plus là.Un enfant qui te ressemble,Un enfant qui me ressemble,Un enfant joue là,Un enfant qui te ressemble,Un enfant qui nous ressemble,Un enfant de toi.Mon amour, mon petit,Tu ne le connais pasMais je lui parle de toi.Dans ma tête, se balancentDes images se balancent.Dans ma tête, c'est toi.Dans ma tête, ton sourireEt l'image se déchire.Cette image, c'est toi.Sur l'autoroute, plus vite.Vers le soleil, plus viteEt puis tout qui va trop viteEt l'image se déchire,Mon amour.Immobile et perdueComme une île perdue,Dans ma tête se balancent,Se balancentDes images se balancent,Se balancent.Cette alliance de toiQue je porte à mon doigt,Que je porte pour toi,Cette alliance, c'est toi.Un enfant qui te ressemble,Te ressemble,Un enfant joue là...
barbara - amoureuse
Pour toi soudain le gris du ciel n'est plus si gris,pour toi soudain le poids des jours n'est plus si lourd.Voilà que sans savoir pourquoi soudain tu ris,voilà que sans savoir pourquoi soudain tu vis,car te voilà, oui te voilàamoureuse {3x}, tellement amoureuse.C'est vrai, alors le gris du ciel n'est plus si gris,c'est vrai, alors le poids des jours n'est plus si lourd.C'est vrai, alors soudain tu sais pourquoi tu ris,c'est vrai, alors soudain tu sais pourquoi tu vis,car il est là, oui il est là.Amoureuse {3x}, tellement amoureuse.Et puis, soudain, le gris du ciel redevient gris,et puis soudain le poids des jours redevient lourd.Tout est fini, tout est fini, l'amour se meurt:il est parti, il est parti et toi, tu pleures,et c'est fini, oui, c'est fini.Malheureuse {3x}.Malheureuse {3x}, tellement malheuresue.
barbara - arde papi
arde papi
arde papi
solita en la playa
caminando bajo el sol
me mojo los piesitos
no aguanto este calor
que grandes son las olas
que fuerte pega el sol
me saco la ropita
desnuda estoy mejor
sa sacate la ropita
arde papi
sacatela mamita
ufff que calor
arde papi que calor
quema papi que calor
que linda esta el aguita
que fuerte quema el sol
la playa esta desierta
desnuda al agua voy
depronto alguien me mira
lo siento al rededor
no me importa nada
no aguanto este calor
sa sacate la ropita
arde papi
sacatela mamita
uff que calor
arde papi tu calor
quema papi tu calor
se acercan unos chicos
tambien tienen calor
vienen a darme algo
por Dios que buenos son!
me quieren dar el pomo de mi bronceador
sa sacate la ropita
arde papi
sacatela mamita
ufff que calor
arde papi tu calor
quema papi tu calor
arde papi
barbara - attendez que ma joie revienne
Attendez que ma joie revienneEt que se meure le souvenirDe cet amour de tant de peineQui n'en finit pas de mourir.Avant de me dire je t'aime,Avant que je puisse vous le dire,Attendez que ma joie revienne,Qu'au matin je puisse sourire.Laissez-moi. Le chagrin m'emporteEt je vogue sur mon délire.Laissez-moi. Ouvrez cette porte.Laissez-moi. Je vais revenir.J'attendrai que ma joie revienneEt que soit mort le souvenirDe cet amour de tant de peinePour lequel j'ai voulu mourir.J'attendrai que ma joie revienne,Qu'au matin je puisse sourire,Que le vent ait séché ma peineEt la nuit calmé mon délire.Il est, paraît-il, un rivageOù l'on guérit du mal d'aimer.Les amours mortes y font naufrage,Epaves mortes du passé.Si tu veux que ma joie revienne,Qu'au matin, je puisse sourireVers ce pays où meurt la peine,Je t'en prie, laisse-moi partir.Il faut de mes amours anciennesQue périsse le souvenirPour que, libérée de ma chaîne,Vers toi, je puisse revenir.Alors, je t'en fais la promesse,Ensemble nous irons cueillirAu jardin fou de la tendresseLa fleur d'amour qui va s'ouvrirMais c'est trop tôt pour dire je t'aime,Trop tôt pour te l'entendre dire.La voix que j'entends, c'est la sienne.Ils sont vivants, mes souvenirs.Pardonne-moi : c'est lui que j'aime.Le passé ne veut pas mourir.
barbara - au bois de saint amand
Y a un arbre, je m'y colle,Dans le petit bois de Saint-Amand,Je t'attrape, tu t'y colles,Je me cache, à toi maintenant,Y a un arbre, pigeon vole,Dans le petit bois de Saint-Amand,Où tournent nos rondes folles,Pigeon vole, vole, vole au vent,Dessus l'arbre, oiseau vole,Et s'envole, voilà le printemps,Y a nos quinze ans qui s'affolent,Dans le petit bois de Saint-Amand,Et sous l'arbre, sans paroles,Tu me berces amoureusement,Et dans l'herbe, jupon vole,Et s'envolent nos rêves d'enfants,Mais un beau jour, tête folle,Loin du petit bois de Saint-Amand,Et loin du temps de l'école,Je suis partie, vole, vole au vent,Bonjour l'arbre, mon bel arbre,Je reviens, j'ai le c?ur content,Sous tes branches qui se penchent,Je retrouve mes rêves d'enfant,Y a un arbre, si je meurs,Je veux qu'on m'y couche doucement,Qu'il soit ma dernière demeure,Dans le petit bois de Saint-Amand,Qu'il soit ma dernière demeure,Dans le petit bois de Saint-A...Y a un arbre, pigeon vole,Mon c?ur vole,Pigeon vole et s'envole,Y a un arbre, pigeon vole...
barbara - au coeur de la nuit
J'ai le souvenir d'une nuit,Une nuit de mon enfanceToute pareille à celle-ci,Une longue nuit de silence.Moi qui ne me souviens jamaisDu passé qui m'importune,C'est drôle, j'ai gardé le secretDe cette longue nuit sans lune.J'ai le souvenir d'une nuit,D'une nuit de mon enfance,Toute pareille à celle-ci,Une longue nuit de silence.Soudain, je me suis réveillée.Il y avait une présence.Soudain, je me suis réveilléeDans une demi somnolence.C'était au dehors. On parlait,A voix basse, comme un murmure,Comme un sanglot étouffé,Au dehors, j' en étais sûre.J' ai le souvenir d'une nuit,D'une nuit de mon enfanceToute pareille à celle-ci,Une longue nuit de silence.J'allais, à demi éveillée,Guidée par l'étrange murmure.J'allais, à demi éveillée,Suivant une allée obscure.Il y eut, je me le rapelle,Surgissant de l'allée obscure,Il y eut un bruissement d'ailesLà, tout contre ma figure.C'était au c?ur de la nuit.C'était une forêt profonde.C'était là, comme cette nuit,Un bruit sourd venant d'outre-tombe.Qui es-tu pour me revenir ?Quel est donc le mal qui t'enchaîne ?Qui es-tu pour me revenirEt veux-tu que, vers toi, je vienne ?S' il le faut, j'irais encoreTant et tant de nuits profondes,Sans jamais revoir l'aurore,Sans jamais revoir le mondePour qu'enfin tu puisses dormir,Pour qu'enfin ton c?ur se repose,Que tu finisses de mourirSous tes paupières déjà closes.J'ai le souvenir d'une nuit,Une nuit de mon enfance,Toute pareille à celle-ciFroide et lourde de silence...
barbara - au revoir
Au revoirNous étions bien ensembleAu revoirCes liens qui nous assemblentNe pourront pas se défaire, ce soirDans cette garePour ce train qui partAu revoirTu pars mais tu m'emportesAu revoirIl faut fermer les portesOù que tu sois, je serai cachéeA l'ombre de toiA l'ombre de toiIl faudrait, il faudrait peut-êtreQue je te dise "reste"Il faudrait, il faudrait peut-êtreQue tu me dises "viens, viens"Au revoirNon, il n'y a personnePour nous voirQui se soucie en sommeD'un homme qui prend son train, le soirDans une garePour autre partAu revoirOui, je serai prudenteEt ce soirOui, c'est promis, je rentreQue dis-tu, oui, j'ai froid, je frissonneMais c'est vraiQue c'est bientôt l'automneIl faudrait, il faudrait peut-êtreQue je te dise "reste"Et tout changerait peut-êtreSi tu me disais "viens, viens"Au revoirMais qu'est-ce que tu racontesAu revoirQu'il faut que je pardonneSi demain je recevaisUne lettre de toiUne lettre de toiMe disantMe disant peut-êtreTout à coup, je comprendsQue tu m'avais quittée, peut-êtrePour longtemps, très longtempsOuiMais soudain, voilà que ton train démarreNous n'avons pas eu le temps de nous direAu revoirNous étions bien ensembleAu revoirLes liens qui nous assemblentAu revoir, mon amourAu revoir, mon amourAu revoir, mon amour...
barbara - barbarie
Dans la rue anonyme,Y a partout des JésusQui vont quêter leur dîmeAvec des yeux battus.Barbarie, donne lui quelques sous.Barbarie, ose cet air aigre doux.Barbarie, après tout, je m'en fous.Dans la rue où l'on pèche,Y a des filles d'amourQui mettent leur chair fraîcheA l'étal des carrefours.Barbarie, garde donc ton écu.Barbarie, c'est toi qui l'a voulu.Barbarie, le remède est connu.Dans la rue à nausée,Y avait un assassinQui donna la saignéeAu galant pèlerin.Barbarie, ce fut accidentel.Barbarie, en sortant de l'hôtel,Barbarie, le péché fut mortel.Dans la rue infernaleQui nous mène au sapin,Lave ton linge saleMais prend garde aux pépins.Barbarie, si tu veux de l'amour,Barbarie, méfie toi des discours.Barbarie, le bonheur est si court.
barbara - bizarre
Il fait bizarreSur la ville,Trottoirs-miroirsSur la ville.Des ombres lézardsSe faufilentEt se glissent, agilesDans le brouillardIndélébile.Il fait bizarreSur la ville.De l'ombre,Une ombre,D'un pas tranquilleSe jette et se cogneContre les pharesD'une automobileQui repartDans la ville.Hôpital-départMais trop tard :Mort sur la ville.Il se fait lourd si lourd.Ils sont perdus,Ces deux-làQue la vie sépare.Au matin blafard,Un train démarre.Un travestiDu BrésilTitube au hasard d'un trottoir,Hagard, sous ses faux cils.Il fait bizarreSur la ville.C'est pluie cafardSur la ville.Des ombres lézardsSe faufilentEt se glissent, agilesDans le brouillard.Il fait bizarre.Trottoirs-Miroirs.Hagard cafard,Blafard départ,Trop tard,Sur la ville...
barbara - bref
La fille, pour son plaisir,Choisit le matelot.L'eau voulut des naviresPour voguer à son eau.L'homme choisit la guerrePour jouer au soldatEt partit pour la faireSur l'air de "Ca ira".Bref, chacun possédaitCe qu'il avait souhaité.Moi, je voulais un hommeNi trop laid, ni trop beau,Qui promènerait l'amourSur les coins de ma peau,Un homme qui, au petit matin,Me prendrait par la mainPour m'emmener croquerUn rayon de soleil.Moi, je voulais un homme.A chacun sa merveilleEt la vie, en passantUn jour, me l'amena.Puis, la fille prit des coupsPar son beau matelot.La guerre, en plein mois d'août,Nous faucha le soldat.Le navire qui passaitJuste à ce moment-là,Le navire qui passaitPrit l'eau et puis coula.Bref, on ne sait pourquoiMais tout se renversa.Moi, je pris en plein c?urUn éclat de son rireQuand il jeta mon bonheurDans la fosse aux souvenirs.Je le vis s'en aller,Emportent mon soleil,Emportant mes étés.J'avais voulu un homme.J'aurais dû me méfier :Cette garce de vie,Un jour, me le reprit.Qu'importe si la vieNous donne et nous reprendPuisqu'ici-bas, tout n'estQue recommencement.La fille, pour son plaisir,Reprendra des matelots.On refera des naviresPour le ventre de l'eau.Y aura toujours des guerresPour jouer aux soldatsQui s'en iront les faireSur l'air de "Ca ira".Eh ben moi, je reprendrai un homme.Pas de mal à ça,Un homme.Les hommes, j'aime ça.Un homme, un homme, un homme...
barbara - c est trop tard
C'est trop tard pour verser des larmes,Maintenant qu'ils ne sont plus là.Trop tard, retenez vos larmes.Trop tard, ils ne les verront pasCar c'est du temps de leur vivantQu'il faut aimer ceux que l'on aime,Car c'est du temps de leur vivantQu'il faut donner à ceux qu'on aime.Ils sont couchés dessous la terreDans leurs maisons froides et nuesOù n'entrera plus la lumière,Où plus rien ne pénètre plus.Que feront-ils de tant de fleurs,Maintenant qu'ils ne sont plus là ?Que feront-ils de tant de fleurs,De tant de fleurs à la fois ?Alliez-vous leur porter des rosesDu temps qu'ils étaient encore là ?Alliez-vous leur porter des roses ?Ils auraient préféré, je crois.Que vous sachiez dire je t'aime,Que vous leur disiez plus souvent,Ils auraient voulu qu'on les aimeDu temps, du temps de leur vivant.Les voilà comme des statuesDans le froid jardin du silenceOù les oiseaux ne chantent plus,Où plus rien n'a plus d'importance.Plus jamais ne verront la mer,Plus jamais le soir qui se penche,Les grandes forêts en hiver,L'automne rousse dans les branches,Mais nous n'avons que des regrets,Mais nous n'avons que des remords,Mais ils ne le sauront jamais.Ils n'entendent plus, c'est trop tard,Trop tard, trop tard...
Cds barbara á Venda