MELHORES MÚSICAS / MAIS TOCADAS
vianney - aux débutants de l'amour
Aux débutants de l'amour ma foi
Il faut dire la vérité
Il n'y aura jamais plus je crois
Que des bonheurs de papier
Qui s'envolent, qui s'envolent
Et ne redescendent jamais
Ã?a s'envole, ça s'envole
Surtout quand s'éteint l'été
Les débutants de l'amour on voit
Qu'ils sourient à en crever
Car les débuts ont cet atout là
De nous donner choses à rêver
Si l'envol, si l'envol
Se déroule comme on voulait
Dégringole dégringole
Notre idylle, le vent levé
Aux débutants de l'amour la joie
Elle est à même, elle est réelle
De beaux diners ça y en aura
Mais se consume la chandelle
Et s'envolent et s'envolent
Les souvenirs dans la cheminée
Et s'envole et s'envole le passé
Aux débutants de l'amour à trois
J'aimerai dire qu'il vont déchanter
Et la minute où la bague au doigt
Se sera vue déjà trompée
Qui s'envole, qui s'envole
Prend le risque de tomber
Ã?a s'envole, ça s'envole
Surtout quand survient l'été
Les débutants de l'amour a trois
Ou débutants de l'amour tout court
Vont repenser qu'a cette allure là
L'heureuse vie suivra son cour
Mais que l'on vole, que l'on vole
Des bouts de vie de paix d'amour
Tout s'envole, tout s'envole
Une belle nuit ou un beau jour
Aux débutants de l'amour ma foi
Il faut dire la vérité
Il n'y aura jamais plus je crois
Que des bonheurs de papier
Qui s'envolent, qui s'envolent
Et ne redescendent jamais
Ã?a s'envole, ça s'envole
Comme le passé
vianney - chanson d'hiver
J'ai aimé la façon dont tes cheveux bouclaient
Quand le temps est humide, quand j'ai les yeux mouillés
Quand l'ambiance est aux pleurs
Que ne ferais-tu pas?
J'ai aimé la façon dont tu me racontais
28 000 Histoires drôles
Même si je les connaissais
Oui, car pour me faire rire
Que ne ferais-tu pas?
Quand tu te fais encore plus belle à l'aide d'un crayon noir
Tu te parfumes même les mains alors qu'on va peut-être pas se voir
Oui, quand tu veux me plaire
Que ne ferais-tu pas?
Et j'aime tous tes baisers
Même quand on n'y croit plus
Du petit au long baveux
Devant tout le monde dans la rue
Puis quand tu me prends dans tes bras
Alors là, je te dis pas
De la place de l'etoile à la place clémenceau
Tissons nous une toile, s'envolera-t-elle bientôt?
Passerons-nous l'hiver, passerons-nous même lundi?
Même s'il y a plus d'hiver, on vit
Et si je t'offre pas de fleurs
C'est qu'elles seraient vexées
De n'être pas à la hauteur d'un rien de ton parfum
Et si je sais pas trop dire tout ça
Est-ce que tu m'en veux, parfois?
Quand tu me demandes si je danse, si je bois un peu ou pas
Tu me dis tout le mal que tu penses sur ces gens que tu ne connais même pas
Quand tu as peur qu'on se lasse, est-ce que tu crois que ça se voit pas?
De la place de l'etoile à la place clémenceau
Tissons nous une toile, s'envolera-t-elle bientôt?
Passerons-nous l'hiver, passerons-nous même lundi?
Même s'il y a plus d'hiver, on vit
Il faut dire que la distance
Du nord au sud de la france
Peut même faire peur aux colverts
Les oies sauvages en restent à terre
Et nous qui ne volons même pas
Comment fait-on, ça je ne sais pas
Voit-on les mêmes couleurs, les mêmes trucs, le même monde
Grandit-on comme il faut, côte à côte, dos à dos
Est-ce qu'on fait bien d'y croire
C'est peut-être trop beau?
Quelque part
vianney - dame des oiseaux
Tout petit canneton j'attendais la plume
Qui ferait que mon nom soit dans les tribunes
Des canards, des journaux, des vendeurs de brume
Les pattes dans la mare j'avais beau tenter
Un jour j'en eut marre, j'ai dus me barrer
Loin de tous ces oiseaux qui se ressemblaient
Sous mon jaune plumage, je me suis construit
Un c? ur tout en couleur et l'orage
Et l'orage s'est envolé et moi aussi, mes ailes
J'ai déployées, ma belle
J'ai survolé un monde où l'on s'aime
Et moi aussi, mes ailes
J'ai déployées, ma belle
J'ai survolé un monde où l'on s'aime
Une palme après l'autre j'ai gravis les dunes
Les collines et les autres, j'ai fait le plus dur
Au milieu des vautours, des mauvais, des enflures
Au milieu des aigris qui brisent les rêves
Lentement j'ai compris que le vent se lève
Jamais seul, non jamais, que quand on l'appelle
Sous mon jaune plumage, je me suis construit
Un c? ur tout en couleur et l'orage
Et l'orage s'est envolé et moi aussi, mes ailes
J'ai déployées, ma belle
J'ai survolé un monde où l'on s'aime
Et moi aussi, mes ailes
J'ai déployées, ma belle
J'ai survolé un monde où l'on s'aime
Et toi aussi, quand tes ailes
Tu déploieras, ma belle
Nous survolerons ce monde où l'on s'aime
Où l'on s'aime
Ã? la fin du chemin, alors je serais vieux
Loin de tous mes chagrins, loin des envieux
Je me rappellerais et puis encore... Je m'envolerais
vianney - je m'en vais
J'ai troqué mes cliques et mes claques
Contre des cloques et des flaques
Mon sac à dos pour oublier
Qu'avant c'est toi qui me pesais
Ce qui m'emmène, ce qui m'entraîne
C'est ma peine, ma peine plus que la haine
Oh ma route, oh ma plaine
Dieu que je l'aime
Et tournent, et tournent dans ma tête
Les images du long métrage
Où tu es belle et moi la bête
Et la belle n'est jamais sage
Quand tu diras que c'est ma faute
Que je n'ai jamais su t'aimer
Au diable toi et tes apôtres
Je m'en vais
Et ce qui perle sur mon front
Gouttes de pluie, gouttes de froid
Donne des ailes, donne dont
L'envie de m'éloigner de toi
Et mes larmes, et mes armes
Sont ma peine, ma peine plus que la haine
Et mes larmes, mes larmes
Dieu que j'ai mal
Et tournent, et tournent dans ma tête
Les images du long métrage
Où tu es belle et moi la bête
Et la belle n'est jamais sage
Quand tu diras que c'est ma faute
Que je n'ai jamais su t'aimer
Au diable toi et tes apôtres
Je m'en vais
Je m'en vais
Je m'en vais
Et tournent, et tournent dans ma tête
Les images du long métrage
Où tu es belle et moi la bête
Et la belle n'est jamais sage
Quand tu diras que c'est ma faute
Que je n'ai jamais su t'aimer
Au diable toi et tes apôtres
Je m'en vais
Je m'en vais
vianney - je te déteste
Je ne suis pas musicien
Je ne suis pas chanteur
Dieu m'a donné des mains
Pour consoler mon c? ur
Si j'avais pu savoir
Combien tu t'en foutais
J'aurais tué l'espoir
De pouvoir t'emmener
Je ne suis pas en sucre
Je ne suis pas en sel
Mais je sens bon l'amour
Jusque sous les aisselles
Si j'avais une voix
Et la moustache qu'il faut
Pour passer sur nova
Tu reviendrais bien tôt
Quand j'y pense
Rien ne la panse
La béance que tu as laissée
C'est vrai que quand j'y pense
Faut que j'avance
La séance est terminée je sais, alors
Alors je laisse aller les doigts sur mon clavier
Je viens gifler mes cordes plutôt que ton fessier
Je crie de tout mon être sur un morceau de bois
Plutôt que dans tes oreilles qui n'écoutent que toi
D e t e s t e, te déteste
D e t e s t e
Et tu n'es pas la plus fine
Non tu n'es pas la plus folle
Quand tu veux la jouer comme
C'est comme et restera comme
Comme ce que tu n'es pas
Mais que tu me montrais
Tu peux changer de voie
Mais pas ce que tu es
Quand j'y pense
Rien ne la panse
La béance que tu as laissée
C'est vrai que quand j'y pense
Faut que j'avance
La séance est terminée je sais, alors
Alors je laisse aller les doigts sur mon clavier
Je viens gifler mes cordes plutôt que ton fessier
Je crie de tout mon être sur un morceau de bois
Plutôt que dans tes oreilles qui n'écoutent que toi
D e t e s t e, te déteste
D e t e s t e, te déteste
D e t e s t e, te déteste
D e t e s t e
Alors je laisse aller les doigts sur mon clavier
Je viens gifler mes cordes plutôt que ton fessier
Je crie de tout mon être sur un morceau de bois
Plutôt que dans tes oreilles qui n'écoutent que toi
Je laisse couler mes larmes sur un papier froissé
Où de la main j'écris je te déteste et puis
Me faudrait-il encore pour retrouver le nord
T'envoyer des menaces, un rat mort dégueulasse?
D e t e s t e, te déteste
D e t e s t e, te déteste
D e t e s t e, te déteste
D e t e s t e
vianney - labello
Je n'avais aimé le froid
Auparavant que depuis chez moi
Mais sur les champs elysées
Tout dépend ce que l'on en fait
Il y avait des types qui vendaient des vins chauds
A d'autres types qui se pelaient les os
Parmi les chant de noël il y eut
Un parfum de fleur, un frisson un début
Et comme le froid fait bien les choses
Avant toi il fallait que j'ose
Labello
La belle, la belle aubaine
Ce labello
Labello, labello, labello sur tes lèvres
Des centaines de chinois
Promenant avec des caméras
Mais sur ces champs elysées
Il n'y a que toi que je voyais
Et j'entendais des types criant "aux marrons chauds"
Quand d'autres types recherchaient un métro
Si c'est noël dans la rue
Dans mes bras mon cadeau ne bouge plus
Comme le froid te fait les joues roses
Contre moi je veux que tu oses
Labello
La belle, la belle aubaine
Ce labello
Labello, labello, labello sur tes lèvres
Labello
La belle, la belle aubaine
Ce labello
Labello, labello, labello
Labello, labello, labello
Labello, labello, labello sur tes lèvres
vianney - les gens sont méchants
Elle peut très bien
Avoir l'air d'une souillon
Je ne retiens
Que ce qu'elle a de bon
Ses cheveux gras
Pourraient bien me cacher
Un souriant visage
Que la faim a creusé
Ã?a sent fort la sueur
Et la piquette séchée
Jusque dans son c? ur
Bien trop alcoolisé
Madame a les dents grises
Ou bien noires ou tombées
Ne défait sa chemise
Que deux fois dans l'année
Dans leur silence
Les gens sont méchants
Le monde avance
Pendant que le temps
Du nous du viens
S'en va la la la la
Dort-elle vraiment
Quand le mercure s'enfuit
Et que le blanc
Vient habiller la ville?
Quand une bouteille
A remplacé maison
Faut la voir qui s'éveille
Rouge comme un brugnon
Dans leur silence
Les gens sont méchants
Le monde avance
Pendant que le temps
Du nous du viens
S'en va la la la la
Pour les c? urs étanches
Aux larmes et aux émois
Le vie commence
Quand on chérit le moi
Elle, ma sale, ma belle
Ma racine sans arbre
Survira-t-elle
Si le monde est de marbre?
Si le monde est de marbre?
Si le monde est de marbre?
vianney - mon Étoile
Tes jolis chaussons rose n'ont pas l'air torturés
Par tes mouvement grandioses ma danseuse de ballet
Ballerine qui s'échine sur un brillant parquet
Qu'une pointe déchire au point de l'écailler
Quand t'enveloppe du blanc, bleu du brun du rose
Tu fais valser le tulle comme une tulipe éclose
Et ces toiles n'ont de grand que la grâce qu'elles épousent
Parfois en découvrant vos poitrines trop douces
Je l'avoue j'imagine que malgré ce chagall
Dans le noir tu devine qu'il y a mon coeur loyal
Et je rêve qu'un de ces soirs sur la place des vosges
On discutera béjart de petit ou d'autre chose
J'imagine qu'au réveil quand tu étends le bras
Un rayon de soleil semble inviter chez toi
Et qu'en un coup de peigne tu remets bien en place
Le chignon, ce diadème qui range ta tignasse
Ha ha ha ha
J'imagine que c'est dur que ça sent le travail
Dans tes tristes blessures physiques ou bien mentales
Repose toi dans mes bras dis s'il sont à ta taille
Ma danseuse mon étoile redeviens petit rat
Contre moi
vianney - on est bien comme Ça
On ne s'en va sur des chemins différents
Toi et moi mais qu'est ce qui nous prend?
On y croit si le ciel est menaçant
Je perçois un soleil levant
Si tu tombes je ne t'en veux pas
Dans ton monde tu m'emporteras
Si je me trompe on est bien comme ça
On est bien comme ça
On débat sur des sujets qui nous font
Toi et moi nous sentir un peu cons
On n'a pas le bagage qu'il nous faut
Ã?a je ne sait pas mais je t'aime trop
Si tu tombes je ne t'en veux pas
Dans ton monde tu m'emporteras
Si je me trompe on est bien comme ça
On est bien comme ça
On est bien comme ça
On s'en fout des ampoules et des cailloux
Dans les shoes tant qu'on tient debout
On s'en bat d'la distance et puis tout ça
Ã?a fait p't'être mal mais rien n'est idéal
Si tu tombes je ne t'en veux pas
Dans ton monde tu m'emporteras
Si je me trompe on est bien comme ça
On est bien comme ça
On est bien comme ça
On est bien comme ça
Si tu tombes je ne t'en veux pas
Dans ton monde tu m'emporteras
Si je me trompe on est bien comme ça
On est bien comme ça
On est bien comme ça
vianney - veronica
Pas fan ni envieux
Mais peut être un peu des deux
Je cherche tes défauts en traduisant tes mots
Et si on s'accouplait
Oh le temps d'un couplet
Dans ma langue ou la tienne
Dis moi celle qui te gène
Parmi ceux qui crient qui t'embrassent et t'acclament
Il y a celui qui rêvasse et qui s'acharne
Dans tes duos ce gars je veux que ce soit moi
Véronica
Véronica
J'attends à la radio
Oh viens hanter ma radio
Mélodie, mets l'audience
Oh fait la folle à fréquence
Parmi ceux qui crient qui t'embrassent et t'acclament
Il y a celui qui rêvasse et qui s'acharne
Dans tes duos ce gars je veux que ce soit moi
Véronica
Véronica
Quand le monde est palot
Quand le monde est palot
Je l'aimais les mélos
Je l'aimais tes mélos
Véronica
Véronica
Véronica
Véronica
Véronica
Véronica
vianney - chanson d'hiver
J'ai aimé la façon dont tes cheveux bouclaient
Quand le temps est humide, quand j'ai les yeux mouillés
Quand l'ambiance est aux pleurs
Que ne ferais-tu pas?
J'ai aimé la façon dont tu me racontais
28 000 Histoires drôles
Même si je les connaissais
Oui, car pour me faire rire
Que ne ferais-tu pas?
Quand tu te fais encore plus belle à l'aide d'un crayon noir
Tu te parfumes même les mains alors qu'on va peut-être pas se voir
Oui, quand tu veux me plaire
Que ne ferais-tu pas?
Et j'aime tous tes baisers
Même quand on n'y croit plus
Du petit au long baveux
Devant tout le monde dans la rue
Puis quand tu me prends dans tes bras
Alors là, je te dis pas
De la place de l'etoile à la place clémenceau
Tissons nous une toile, s'envolera-t-elle bientôt?
Passerons-nous l'hiver, passerons-nous même lundi?
Même s'il y a plus d'hiver, on vit
Et si je t'offre pas de fleurs
C'est qu'elles seraient vexées
De n'être pas à la hauteur d'un rien de ton parfum
Et si je sais pas trop dire tout ça
Est-ce que tu m'en veux, parfois?
Quand tu me demandes si je danse, si je bois un peu ou pas
Tu me dis tout le mal que tu penses sur ces gens que tu ne connais même pas
Quand tu as peur qu'on se lasse, est-ce que tu crois que ça se voit pas?
De la place de l'etoile à la place clémenceau
Tissons nous une toile, s'envolera-t-elle bientôt?
Passerons-nous l'hiver, passerons-nous même lundi?
Même s'il y a plus d'hiver, on vit
Il faut dire que la distance
Du nord au sud de la france
Peut même faire peur aux colverts
Les oies sauvages en restent à terre
Et nous qui ne volons même pas
Comment fait-on, ça je ne sais pas
Voit-on les mêmes couleurs, les mêmes trucs, le même monde
Grandit-on comme il faut, côte à côte, dos à dos
Est-ce qu'on fait bien d'y croire
C'est peut-être trop beau?
Quelque part
vianney - je m'en vais
J'ai troqué mes cliques et mes claques
Contre des cloques et des flaques
Mon sac à dos pour oublier
Qu'avant c'est toi qui me pesais
Ce qui m'emmène, ce qui m'entraîne
C'est ma peine, ma peine plus que la haine
Oh ma route, oh ma plaine
Dieu que je l'aime
Et tournent, et tournent dans ma tête
Les images du long métrage
Où tu es belle et moi la bête
Et la belle n'est jamais sage
Quand tu diras que c'est ma faute
Que je n'ai jamais su t'aimer
Au diable toi et tes apôtres
Je m'en vais
Et ce qui perle sur mon front
Gouttes de pluie, gouttes de froid
Donne des ailes, donne dont
L'envie de m'éloigner de toi
Et mes larmes, et mes armes
Sont ma peine, ma peine plus que la haine
Et mes larmes, mes larmes
Dieu que j'ai mal
Et tournent, et tournent dans ma tête
Les images du long métrage
Où tu es belle et moi la bête
Et la belle n'est jamais sage
Quand tu diras que c'est ma faute
Que je n'ai jamais su t'aimer
Au diable toi et tes apôtres
Je m'en vais
Je m'en vais
Je m'en vais
Et tournent, et tournent dans ma tête
Les images du long métrage
Où tu es belle et moi la bête
Et la belle n'est jamais sage
Quand tu diras que c'est ma faute
Que je n'ai jamais su t'aimer
Au diable toi et tes apôtres
Je m'en vais
Je m'en vais
vianney - tout seul
S'il s'agit de montrer combien j'ai la peau dure à toute épreuve
S'il s'agit de montrer que je suis une armure à moi tout seul
Je n'irai pas bien loin plus passent les âges oui c'est certain
Je suis comme les arbres, y'a des saisons j'me perdsTout seul on est peu de choses
Je t'appelle et n'ose
De te le demander
Ne me laisse pas
Tout seule le temps nous impose
Cette solitude
Il y a mes bras
Et les tiens pourquoi pas
Les tiens pourquoi pas
S'il s'agit de désir, je crois pouvoir dire que tu me manques
Je ris comme je respire mais au fond je tangue
Et me démange ton souvenir maintenant que me voici
Tout seul on est peu de choses
Je t'appelle et n'ose
De te le demander
Ne me laisse pas
Tout seule le temps nous impose
Cette solitude
Il y a mes lois
Et les tiens pourquoi pas
Je ne crains pas spérenza
On trouve toujours un vendredi
Mais sans vous et sans toi
Tout seul on est peu de choses
Je t'appelle et n'ose
De te le demander
Ne me laisse pas
Tout seule le temps nous impose
Cette solitude
Il y a mes lois
Et les tiens pourquoi pas
Tout seul on est peu de choses
Je t'appelle et n'ose
De te le demander
Ne me laisse pas
Tout seule le temps nous impose
Me me laisse
Cette solitude
Il y a mes lois
Et les tiens pourquoi pas
Cds vianney á Venda